Vibatas Roland: La fondation du père

Vibatas Roland vécu sur une île nommée Pandore, celle-ci était une île séparée en deux partie, par une chaîne montagneuse, laissant un seul passage terrestre. L'histoire parlait de se passage comme un fléau, les créatures qui logeait l'autre coté de l'île, menaçaient sans cesse la grandeur de Pandore (La cité dominante de l'île, Lorsque Roland naît il n'y en as que 2, Pandore et Nayran= un port situé à l'extrémité de l'île pour recueillir les inconnus vagabonds.)

Ce passage fut alors fermé par une vaillante victoire humaine, et les forges rapportaient le vacarmes de leur efforts, pour former une massive porte, qui se nomma les portes du triomphe. Trop grande pour être entretenue et trop longue pour être gardée il fut laissé à l'abandon.

Pendant 3 siècle celle-ci resta fermée. Alors que Roland naquit son père fervent général de Pandoran, suite à divers attentats, choisit de quitter la forteresse de Pandore pour s'installer a Nayan emporte sur sa route plus de 400 cavaliers Impériaux qui lui jurèrent fidélité plutôt qu'au roi.

A Nayan les tensions étaient élevées, l'idée de savoir qu'un Général traître a sa patrie terrorisait les habitants. Aussitôt il fut banni du port.

Plus tard (environ un moi après l'expulsion) il rencontrèrent un camp nomade. L'étonnement fut grandiose... Comment un peuple nomade peut-il être présent sur une si petite île. Ce peuple nomade les recueillerent et les menèrent jusqu'a un domaine rocheux forgé par la vaillance humaine dans la pierre même.

Leur venue fut immédiatement suivie d'acclamation, le père de Roland fut aimé rapidement pour sa puissance tactique, et l'ingéniosité d'un de ses soldats, dont le nom fut oublié par le temps.

Ce qu'ils ne savaient pas, a ce moment, ni même le peuple qui s'appelait les Cedarkes c'est que dans l'ombre des donjons de Pandore un mage avait retrouver leur trace, et la furie du roi, fut immédiate. Toute une armée fondit au travers les plaines pour rejoindre et combattre les forces du père de Roland...

A suivre

L'armée du roi fut ainsi assemblée. Parmis eux se comptaient des mercenaires pirates qui logeaient dans les port de Nayan, la garnison de Nayan faut elle aussi complètement vidée. Cette faible armée comptait près de 800 soldats, elle partait de Nayan pour rejoindre les plaines Aszen ou gisait un faible campement éclaireur.

L'armée royale, elle, était composée de peu de mage, Une légion de chevalier du royaume, et le reste des chevaliers que n'avait pas emportés Le père de Roland, ainsi que diverse classe de soldats (archers, piquiers etc...)
Celle-ci comptais prés de 7000 guerriers et chevaliers compris. Il se trouvait encore des armes de sièges étranges venue par la mer qui constituait la seule force contre un domaine défensif.

Mais de l'autre coté de l'ile dans la souche montagneuse gisait encore et toujours le peuple Cédarkes, ainsi que Roland et les chevalier de son père. Ce soir était organisé un immense banquet une longue nappe de feuille longeais tout le village et chacun était assis pour contempler, le repas fournit. Ce peuple nomade avait une grande histoire derrière lui. Le chef du village était un descendant d'une famille royale ancien ordre de la forteresse de Pandore, et les soldats qui y étaient présent sont eux même les descendants de leurs chevaliers.

Dans l'ombre du soir un sorcier qui portais les marques de la nécromancie (sur les terres de pandore les nécromanciens sont punis par la mort). Avait fait appel aux os pour dire le futur qu'était réservé aux invités de la table. Au lieu de cela le sorcier vit une image d'un seigneur nécropien(gérant d'une nécropole) celui lui contait la force des aïeux de Roland, et de lui uniquement. Le sorcier conta cette belle histoire sans grand intérêt pour lui, mais lorsque Roland (encore âgé de 15 ans) baissa la tête pour y trouver une partie de son repas le sorcier entra en transe.

Ses yeux révulsèrent et derrière lui apparut un loup fantomatique (c’est une apparition qui pour les chamans est appelé l'oeil du loup, et ce loups et en fait mort et donc éthéré il voyage au service d'un maître et regarde pour lui les lieux qu'il souhaite). Tandis que le loup fixais de son regard Roland le chaman racontait la vision:

"Un cavalier sur son destrier
Et afin d'y libérer son honneur,
Il fit avancer sa puissante armée
Et conta à ses chevaliers,
L’erreur de son ancien guerrier.
Et pour cela il va traverser les forets
Pour que cela soit la dernière bataille livrée."

Le sorcier repris son apparence et de son regard effrayé il fit dans le langage de la lune (c'est une langue de sorcellerie elfique qui as pour adoration la lune: elle est censée refléter sa lueur. Vous comprendrez plus tard où cet humain sorcier l’a acquis):

A shinda tollo. En mira dora ess, a cotta tieh son fidieh taranaar. Un dimatieh en tereo kaa sou in dimatieh. Barjoll Fereerlh.
("La lune s'est voilée. Elle conte les exploits à venir, car malgré ces exploits, vous y verrez des morts. Mais c'est la bas que vous y trouverez la force.)

Le loup gémis un léger moment et s'avança dans la plaine attendant qu'on le rejoigne. Le sorcier fit signe à Roland et à son père d'y aller. Ils mirent un temps avant de réaliser ce qu'il se passait. Ils avaient presque pu oublier qu'ils avaient échappé à un tyran.

Mais le destin les avait rattrapés et c'est sur un pas silencieux que tout les chevaliers se levèrent pour attelé leur chevaux et s'armer autant de leur armure que de leur force.

A suivre

Les chevaliers attelés, leurs armes aiguisées, tous étaient prêts à partir à la bataille. Ils savaient qu'elle était perdue. Etrangement personne ne savait pourquoi ils avaient pu faire confiance à ce chaman inconnu, son charisme n'était pourtant pas véritable. Peut-être était-ce la manière dont ce chaman évoqua l'importance de cette, personne n'en savait rien.
Mais lorsque le père de Roland se leva tous était prêt à porter les armes contre la mort.

Roland ne pouvait entrer dans la bataille sans enseignement définitif, certes il avait appris à se battre mais il était trop jeune, et son père ne pouvait le laisser perdre la vie dans leur guerre.

Le père de Roland fit un salut aux descendants de la lignée Pandorane, et avança sa monture sur un chemin boueux. Il baissa la tête, et sentit la présence d'un souffle, celle d'une monture, il tourna aussitôt son regard et le porta à l'attention de son accompagnateur. Il y aperçut une armure miroitant les lueurs de la lune, un heaume d'acier couvrant l'insigne de la lune inscrit sur une capuche qui en dépassait. Derrière lui tout les hommes du village avait déjà sur eux leurs armes, et il ne s'en était même pas aperçut.

Des chevaux vident de leur maître se retrouvèrent rapidement attelés, ainsi dans tout le calme que la lune laissait paraître tous partait à la guerre. Les reniflements des montures évoquaient beaucoup pour chaque chevalier du père de Roland, c'était un espoir, un espoir de se battre pour un honneur.

Cette armée était en marche, malgré le doute persistant tous étaient heureux de pouvoir se battre en compagnie d'un allié ancestral.

De l'autre coté de l'île les armes de sièges luisaient de tout feu cirées sans cesse par des paysans. Les armées du roi se reposaient dans des tentes surveillées par des rondes constantes de troupes. Sous une tente plus grande sûrement celle du roi des hommes parlait de destinée.

Le mage qui avait retrouvé la trace de Roland et des chevaliers était présent dans cette assemblée le nouveau général se nommait Backal, un ancien homme riche qui fut humilié par le père de Roland alors qu'il vantait ses faux exploits. Etait présent aussi Tekh le maître d'arme qui forma Roland et tout les chevalier de son père telle était son rôle au sein de ce royaume il est le seul à tenir encore d'estime en Roland et son père les autres présent à cette table ne se guère plus que des capitaines de petits camps éclaireurs disséminés partout dans les plaines de pandore.

La discussion était portée par le roi, alors qu'il déplaçait des échantillons de bois représentant les majeures troupes de son armée, pour optimiser leur chance de victoire. Il avançait une père et donnait les conseils pour peaufiner ces tactiques et aucun des membres présents, n'osait l'interrompre sauf, Tekh? A chaque foi que le roi avançait une pièce comme si il jouait à un jeu d'échec, le roi était applaudit pour sa finesse mais aussitôt il se faisait interrompre par Tekh qui lui suggérait une autre manière d'utiliser ses armées, qui n'étaient autre que les stratégies mises au point par le père de Roland lui-même.

La voix s'éleva et le roi congédia Tekh, pour ses offenses à son encontre. Ainsi continua le roi, lorsqu'il eu finit, le mage prit la parole, sans applaudir, il lui fit remarquer son erreur:

" tel que le disait Tekh les manières d'utiliser une armées n'est dû qu'aux différences de l'expérience, pardonnez moi mon seigneur si je porte une contradiction à vos oreilles mais si vous user d'oeuvre de l'adversaire nous seront voués à l'échec. J'ai vu leur position dans ma vision, mais j'ai aussi vu des armées il se battront pour défendrent leurs droits, ils ont donc de quoi retourner la situation, il faut alors prendre garde"

Le roi repris de son entêtement:

"Silence, je suis roi auriez-vous oublier la couronne que je porte en guise de coiffe?
Cependant vous avez raison, c'es pour cela qu'il ne pourra pas prévoir que je l'ai fait exprès"Sur son visage se dessinait un sourire,
"J'ai connue une bonne partie des guerres qu'il effectua, même sur mer, ses commandants refusaient de perdre leur chétif seigneur de guerre. C'est pourquoi cette troupe..." Il désigna alors une autre figurine qui était postée loin de la bataille "servira de leurre. Ils se retrancheront tels de vulgaires pies protégeant leur bien. ils se concentreront au milieu de la bataille et les armes de siège n'auront pas meilleure occasion que de balayer leurs troupes."

Le mage repris la parole en posant une question que tous n'arrivaient à défaire de leurs esprit.
"A ce propos que sont ces armes de sièges?"

"Ces armes de sièges n'en sont pas en réalités, c'est une arme mise au point par des nains. Ils appellent ça "le fléau des gobelins", en fait cette armes n'est autre qu'une baliste mais les carreaux qu'elles portent sont remplir d'une matière empoisonnée. Quand un carreau touchera le sol celui-ci éclatera laissant se répandre toute la valeur de notre empire."

Tous se turent ravis d'entendre cela, mais un des capitaines éleva pour la première fois sa voie:

"Mais que feront nous de nos troupes qui seront en ce milieu?"

"Nos soldats n'ont aucune valeur ils mourront donc."